Chansons à Texte
Par
Daniel Tornare
Daniel Tornare
Bienvenue sur mon site !
« Textes chatoyants qui se destinent à une guitare, ou même à un piano, pour et avec quelques accords, quelques notes, commencer à chantonner des couplets, un titre et un refrain. »
« S’agrémenter, seulement, par un matin ou un soir, se divertir, se détendre, se faire plaisir, … »
(Olivier Raymond)
ACTUALITE
Novembre - décembre 2007 : Publication d'un "texte" de Daniel Tornare dans la revue L'Ouvre Boîte ("Coin des Poètes" - MONTMORENCY - Val d'Oise)
Le 14 février 2008 : solo de batterie par Daniel Tornare (« Rapmania » de Jean François) au Conservatoire de Musique de SURESNES (Hauts de Seine).
1er
mars 2008 : "Coin des Poètes" à 14 h 30 - MONTMORENCY (Maison des
Loisirs et de la Culture) - Val d'Oise.
Le 19 mars 2008 : Rencontre avec le chanteur
Alain Ortega,
autour du Verre de l’Amitié, pour fêter le succès et la sortie du cd « Crescendo
6 ».
Et toujours, Yannick Tornare, musicien et compositeur du Luxembourg, travaille sur trois "textes" inédits de Daniel Tornare : Je pense à ces idées, Luxembourg et Ma lettre au père... à destination des publics luxembourgeois et belges (Festival à la Maison des Arts de SCHAERBEEK), plus particulièrement.
Daniel Tornare est en quête d'un "mécène" pour la publication de son recueil de poèmes intitulé "Nuits"
auprès de l'éditeur "Hay...comme Ecriture" situé à MERU dans l'Oise (France - 60). Il s'agit pour lui de trouver un montant de 1 000 € afin de publier son recueil tiré à 500 exemplaires. Le recueil sera ensuite vendu 20 €.
Et prochainement sur ce site : "Premiers Pas", "Dédicaces et encouragements à l'écriture", et enfin des "textes" inédits mis en musique par Colin Gillet (pianiste et compositeur).
32 « textes » – Paroles : Daniel Tornare. 2008.
Paroles : Daniel Tornare
Chantez, chantez mes belles
Dites nous ce qui va
Du vent et du miel
Du temps qui s’en va
Des notes de la vie
On ne va pas s’étonner
Vous me l’avez dit puis écrit
C’était à « l’Underground café »
J’étais votre amant amer
Pourtant j’ai horreur de l’été
Et d’un corps libre et fier
Aux rendez-vous manqués
Mais ce n’est pas l’hiver
On ne va pas s’étonner
De tout ce qui se perd
A « l’Underground café »
Chantez, chantez mes belles
Dites nous ce qui va
Du vent et du miel
Du temps qui s’en va
Ce sont quelques notes
Quelques mots comme ça
D’un jour et vos portes
D’un été qui n’en finit pas
Vos seins et du miel
Vous allez me rendre fou
Des mots forts et ce ciel
D’un matin à genoux
Chantez, chantez, mes belles
Paroles :
Daniel Tornare
Durant la journée
Je t’ai imaginé
Tu me fais rêver
Je ne t’attendais plus
Je ne t’espérais plus, non
Et sur des musiques douces
Qui me parlent de toi
Et sur des musiques douces
Qui m’ font penser à toi
Je danse ma vie qui roule
Tu es la musique de mon âme
La source de ma jeunesse
Le parfum de mes drames
Ma force et ma faiblesse
Je ne t’attendais plus
Je ne t’espérais plus, non
Et sur des musiques douces
Qui me parlent de toi
Et sur des musiques douces
Qui m’ font penser à toi
Je danse ma vie qui roule
Un jour plus long
Un jour plus tard
De mille façons
Notre au revoir
Retentira encore
Dans ma mémoire
J’aurais des soirs, des matins
Comme une seconde chance
La fois où tu m’as donné la main
Comme une sœur, une évidence
Et sur des musiques douces
Qui me parlent de toi
Et sur des musiques douces
Qui m’ font penser à toi
Je danse ma vie qui roule
Paroles :
Daniel Tornare
Il pleut sur la ville
Il pleut sur ma vie
Les temps sont tranquilles
Elle est sans souci
C’est une histoire d’ange
Une vie sans rivage
Un mot qui dérange
Une vie de voyage
La vie t’a blessé
La vie t’a marqué
Mais j’aime quand même
Tes défauts, tes qualités
Il pleut sur la ville
Il pleut sur ma vie
Les temps sont tranquilles
Elle est sans souci
Et je surfe sur mon ennui
Je cherche le sens de ma vie
Pour une étoile, un firmament
Un appel qui répond présent
Un soir dans un hôtel
Et une dernière lettre
Pour toi et pour elle
Et un ami peut-être
Il pleut sur la ville
Il pleut sur ma vie
Les temps sont tranquilles
Elle est sans souci
Au berceau il y a cet homme
Au cœur une fêlure
Dans l’âme une pomme
Au pied de son mur
Viens au creux de mon épaule
Tout ce que tu désires s’y trouve
Viens au creux de mon épaule
Les portes de la joie s’ouvrent
Il pleut sur la ville
Il pleut sur ma vie
Les temps sont tranquilles
Elle est sans souci
Paroles :
Daniel Tornare
Un club dans le Michigan
Un fils dans le cinéma
Et qui perd gagne
Advienne que pourra
Café et cigarette
Un matin banal
Après une nuit de fête
Une martingale
Et puis y’a la vie
La vie des autres
Entre rêve et folie
La raison de l’autre
Un club dans le Michigan
Un fils dans le cinéma
Et qui perd gagne
Advienne que pourra
Et les moments les plus fous
La vie comme en rêve
Les baisers volés dans le cou
Cette journée qui s’achève
Je t’aime, je t’aime
Je viens vers toi
Au-delà des anathèmes
De toute ma loi
Un club dans le Michigan
Un fils dans le cinéma
Et qui perd gagne
Advienne que pourra
Paroles :
Daniel Tornare
Je ne sais pas ce qui se passe
Dans ton sommeil, dans tes rêves
Jour après jour, le temps qui passe
Dépose un goût de sel sur tes lèvres
Et ce n’est pas si facile
Ce n’est pas rien
Au bout de notre île
Sur les rames du destin
C’est mon amitié
Ma tâche de couleur est à tes côtés
J’étais sans espoir et perdu
Tu m’as tendu la main
Ces soirs où rien ne va plus
Au coeur d’un nouveau matin
Je ne t’ai pas cherché
Jusqu’au jour où tout est arrivé
Jusqu’au jour où tout aurait pu basculé
C’est mon amitié
Ma tâche de couleur est à tes côtés
Et quelquefois
Se dire nos quatre vérités
Comme un combat
Dans un moment d’éternité
C’est mon amitié
Ma tâche de couleur est à tes côtés
Paroles :
Daniel Tornare
Un jour
Je viendrai
Et j’écrirai
Ce qui me vient
Ce qui me plaît
Comme un témoin
Au vent mauvais
A la terrasse du Grand Soleil
Entre le doute et le bonheur
Au moment du Grand Réveil
Sur les routes de mon cœur
Elle m’étonne
C’est fou comme elle m’étonne
Mes rêves bénis
Qui voilent mes nuits
Mes rêves maudits
Qu’au matin j’oublie
C’est elle et la mer
Ses yeux et l’avenir
La force d’un père
Un bateau qui chavire
Pour tout l’amour qu’elle m’a donné
Pour tout l’espoir qu’elle a osé
Elle m’étonne
C’est fou comme elle m’étonne
Paroles :
Daniel Tornare
Ce que je me suis dit
Ce que je me suis promis
Ce matin de juillet
Dans ce troquet
Deuil de l’écriture
Deuil de la chanson
Deuil de l’aventure
Deuil de la passion
Et le deuil d’un amour parti
Au moment où je perds la tête
Des kilomètres de Whisky
De cafés, de cigarettes
Ce que je me suis dit
Ce que je me suis promis
Ce matin de juillet
Dans ce troquet
Car il n’y en a que pour lui
Derrière l’âme de la fête
Et ce que je me suis promis
Comme on perd vraiment la tête
Il me reste à travailler
Il me reste à rester
Et c’est le plus dur
Ce que je me suis dit
Ce que je me suis promis
Ce matin de juillet
Dans ce troquet
Ça me mène à rien
Ce semblant de vérité
Ça me mène à rien
Cette illusion de liberté
Ce que je me suis dit
Ce que je me suis promis
Ce matin de juillet
Dans ce troquet
Paroles :
Daniel Tornare
C’est ce qu’elle dit
C’est ce qu’elle dit
Je suis un gars qui n’a pas eu de chance
C’est ce qu’elle dit
C’est ce qu’elle dit
Entre l’ombre, les cieux et la romance
Et la beauté d’un poème
L’amour et la mort
Une âme qui fait sienne
Tous les bars d’un port
Chaque jour qui passe
Chaque jour que Dieu fait
Le temps qui lasse
Au vent qui paraît
C’est ce qu’elle dit
C’est ce qu’elle dit
Je suis un gars qui n’a pas eu de chance
C’est ce qu’elle dit
C’est ce qu’elle dit
Entre l’ombre, les cieux et la romance
La solitude, les habitudes
Toujours les mêmes gestes
C’est ce qu’elle dit
C’est ce qu’elle dit
Je suis un gars qui n’a pas eu de chance
C’est ce qu’elle dit
C’est ce qu’elle dit
Entre l’ombre, les cieux et la romance
Paroles :
Daniel Tornare
Je ne reviendrai pas
Seul sur ma route
Je n’en pas envie
Il n’y a pas de doute
Un parfum du Sud
Le long des rues
Loin des habitudes
Qui un jour nous tue
Un parfum du Sud
Sous un ciel bleu métal
Pour trois années de solitude
Trois années originales
Je ne reviendrai pas
Seul sur ma route
Et je n’ai pas que ça
Il n’y a pas de doute
Je te disais des choses banales
Je vivais comme je pouvais
Et ce qui m’était égal
Le temps beau le temps mauvais
D’où vient le jour
D’où vient la nuit
D’où vient l’amour
D’où vient la vie
Je ne reviendrai pas
Seul sur ma route
Et je n’ai pas que ça
Il n’y a pas de doute
Paroles : Daniel Tornare
Le bonheur,
Ce sont des choses
Des choses au quotidien
Quand ta vie dans la ville se fait morose
Sur la voie d’un dernier train
De nuit, oh, la nuit.
C’est surtout un hit qui s’ignore
De bossa de samba et de sax
C’est aussi le Chant des Morts
De bossa de samba et relaxs
Alors, on y va, on y croit, on se bat
Pour elle et lui, pour nous, pour toi et moi
Alors, on part à l’aventure, encore et encore
Le plaisir de la nuit se confond avec l’aurore
N’avoir personne à se citer et rester les yeux ouverts
Parce que les murs de la cité, ils seront populaires
Mais croyez moi, ça va marcher là dessus
Comme sur un quai de gare à minuit
Mais croyez moi que tout n’est pas fichu
Quand un train s’en va dans la nuit
Alors, on y va, on y croit, on se bat
Pour elle et lui, pour nous, pour toi et moi
Alors, on part à l’aventure, encore et encore
Le plaisir de la nuit se confond avec l’aurore
Le bonheur,
Ce sont des choses
Des choses au quotidien
Quand ta vie dans la ville se fait morose
Sur la
voie d’un dernier train
De nuit, de nuit, oh, la nuit.
Alors, on y va, on y croit, on se bat
Pour elle et lui, pour nous, pour toi et moi
Alors, on part à l’aventure, encore et encore
La fin de la nuit se confond avec l’aurore
Paroles : Daniel Tornare
Il y a les routes, les rivières, les vitrines, les pommes
Il y a les immeubles en fer, les femmes et les hommes
Il y a les hauts, les bas, les joies, les peines
Il y a les fous, les ch’vaux, les rois, les reines
C’est pour ça que je ferme les yeux
C’est pour ça que je ferme les yeux
Il y a le loup, l’agneau, le climat, la faune, la flore
Il y a le doute, le bonheur, la fille aux cheveux d’or
Il y a la vie, l’amour, la mort
Il y a aussi les coups du sort
C’est pour ça que je ferme les yeux
C’est pour ça que je ferme les yeux
Il y a la drogue, le sexe, le rock n’roll
Il y a un ciel, des oiseaux qui s’envolent
Il y a eux deux, et tous les autres
Il y a le temps, qui est le notre
C’est pour ça, voyez vous, que je ferme les yeux
C’est pour ça, voyez vous, que je ferme les yeux
Il y a les anniversaires, les matins de Noël
Il y a les inventaires, les histoires et le miel
Il y a beaucoup plus, il y a tout et rien à la fois
Il y la pluie, le beau temps, et tout ce que je vois
C’est pour ça que je ferme les yeux
C’est pour ça que je ferme les yeux
Il y a tes mains, les yeux de mon coeur
Il y a les victoires, l’espoir et l’honneur
Il y a la vie, l’amour, la mort
Il y a aussi les coups du sort
Il y a les animaux, les ténèbres dans leurs yeux
Les dettes, le poker, le moment de tous les aveux
Il y a les nuages, les visages et les noms
Il y a les rivages, les mariages, les canons
C’est pour ça que je ferme les yeux
C’est pour ça que je ferme les yeux
Il y a la terre, les paysages et la ville
Il y a nos frères, New York et Manille
Il y a les lois, les étreintes, les salons
Il y a la volonté, le sanglot des violons
Il y a les routes, les rivières, les vitrines, les pommes
Il y a les immeubles en fer, les femmes et les hommes
Il y a les hauts, les bas, les joies, les peines
Il y a les fous, les ch’vaux, les rois, les reines
Paroles : Daniel Tornare
C’est pas l’usine, c’est pas la misère
Mais il est temps que tu reviennes
La folie ne les rend que plus fiers
Ceux là, la leur, et surtout la mienne…
C’est comme ça que ça vient
Un jour comme les autres
Et puis il n’y a plus rien
Juste se dire à la nôtre
C’est pas toi qui a peur
C’est toi qui t’en va
C’est pas du cœur
D’où sort le « ça ira ! »
Ecrire, tu ne sais faire que ça
Ecrire, tout ce que tu vois
Ecrire, pourtant c’est pas ça
Ecrire, quand tout s’en va
Des phrases incertaines
Un jeu un peu incertain
Qu’à ça ne tienne
Sur les routes du destin
Les cris, les bruits de la ville
Au cœur d’un sacré malaise
Deux hommes dans la ville
D’un futur plutôt à l’aise
Ecrire, tu ne sais faire que ça
Ecrire, tout ce que tu vois
Ecrire, pourtant c’est pas ça
Ecrire, quand tout s’en va
Les mots, rien que les mots
Au cœur de cette musique
Les guitares et les pianos
Leur flot toujours magique
Ecrire, tu ne sais faire que ça
Ecrire, tout ce que tu vois
Ecrire, pourtant c’est pas ça
Ecrire, quand tout s’en va
Paroles :
Daniel Tornare Musique : Yves Bécourt
J’aimerai que tu sois bien
Dans ton âme, dans ta peau
J’aimerai que tu vives pour toi
Au gré des vagues et de ton bateau
Y’a comme une overdose
De ces gens trop hautains
Y’a comme une overdose
De ces gens plus malins
Qu’attends tu de la vie, mon fils
Ton regard est étrange
Entre la vertu et le vice
Tu as des jeux qui dérangent
Il existe une étoile
Pour te faire rêver
Il existe une étoile
Qui pourrait te combler
Il existe une étoile
Pour ne rien quitter
J’aimerai que tu sois heureux
Avec ton espoir, avec ton amour
Leur mémoire te brûle les yeux
Au gré de tes larmes, de jour en jour
Il existe une étoile
Pour te faire rêver
Il existe une étoile
Qui pourrait te combler
Il existe une étoile
Pour ne rien quitter
Paroles :
Daniel Tornare
Je te laisse faire ce que tu veux
Tu m’amuses quand tu t’ennuies
Le chaos du monde n’est pas dans tes yeux
Pour hier, demain et aujourd’hui
Et c’est pour toi que je vis
Et c’est pour toi que je chante
Quand vivre est un fardeau
Tu n’es jamais soumise
Quand vivre est un bateau
Ton âme n’est jamais grise
Qu’as tu voulu dire ma belle
Je ne sais pas vraiment
Ce n’était pas le vent de celle
Qui m’a laissé bien des tourments
Qu’as-tu voulu dire ma belle
Je ne sais pas vraiment
Et c’était bien le vent de celle
Qui veut changer le monde vraiment
Et c’est pour toi que je vis
Et c’est pour toi que je chante
Quand vivre est un fardeau
Tu n’es jamais soumise
Quand vivre est un bateau
Ton âme n’est jamais grise
Paroles :
Daniel Tornare
Juste une image d’elle
Accrochée au mur
Un flot d’étincelles
En signature…
Je prends la plume
Et je perds la tête
Seul sous la lune
Un jour de fête
Nous reviendrons
Vous dire ce que nous pensons
De cette histoire
Si triste et en cuivre et en plomb
Je prends les dunes
Je perds mes lettres
Seul sous la lune
Un jour de fête
Nous resterons
Vous prendre les ballons
Rouges de cette matinée
Si gaie et en cuivre et en plomb
Juste une image d’elle
Accrochée au mur
Un vol d’hirondelles
Les portes du futur…
Nous partirons
Vous prendre cette version
De cette histoire
Originale et en cuivre et en plomb
J’ai pris la plume
J’ai perdu la tête
Seul sous la lune
Un jour de fête
Juste une image d’elle
Accrochée au mur
Un flot d’étincelles
En signature…
Paroles :
Daniel Tornare
Il se pervertit dans les plaisirs faciles
L’occidental
Il se pervertit dans les plaisirs futiles
L’occidental
Il boit, il fume, il fait l’amour
L’occidental
Il prend sa route tous les jours
L’occidental
L’occidental dans les cafés,
Dans les rues, dans les musées
L’occidental, ça sent la bonté
Partout où il n’est pas passé
Il dit qu’à la radio, à la télévision
Ils véhiculent de belles images
L’occidental
Il dit qu’à la radio, à la télévision
Ils véhiculent de belles choses
Mais qu’il entende que c’est un con
Et il ne prétendra pas autre chose
L’occidental ça vient d’occident
L’occident c’est pas méchant
Mais tes yeux purs sont perdants
De l’automne jusqu’au printemps…
Allons enfants voir un peu plus loin
Si ce n’est pas facile, si ce n’est pas rien
Allons enfants voir un peu plus loin
Là où vont se croiser les derniers trains
L’occidental ça vient d’occident
L’occident c’est pas méchant
Mais tes yeux purs sont perdants
De l’automne jusqu’au printemps…
Il délire sur des moments fragiles
L’occidental
Il délire avec le cœur des filles
L’occidental
Il se souvient d’un mot d’amour
L’occidental
Il se souvient de jour en jour
L’occidental
L’occidental, et les anciens mariés
Dans les cieux, dans les allées
L’occidental, ça sent l’éternité
Là où il aimerait encore passé
L’occidental ça vient d’occident
L’occident c’est pas méchant
Mais tes yeux purs sont perdants
De l’automne jusqu’au printemps…
Paroles :
Daniel Tornare
L’Italie
C’est un verre de chianti
L’Italie
C’est le soleil à minuit
L’Italie
Où les filles sont si jolies
L’Italie
Quand on y vient de Paris
L’Italie…
Le Piémont, et la SIcile
Ce n’est pas le même combat
Le Piémont, et la Sicile
Ce n’est pas la même aura…
L’Italie
C’est un si beau pays
L’Italie
Le minestrone, les spaghettis
L’Italie
Pas loin, tout près de Bari
L’Italie
Quand on y arrive à midi
L’Italie…
Naples, et Venise
Ce n’est pas la même histoire
Naples, et Venise
Ce n’est pas la même mémoire…
L’Italie
C’est le chant d’un ami
L’Italie
C’est un bébé et son cri
L’Italie
La fête, la magie
L’Italie
C’est une mamma dans son lit
L’Italie…
Et Milan et Turin
C’est la même clameur
Et Milan et Turin
Mais ce n’est pas le même honneur
L’Italie
Il faut être né ici
L’Italie
Dans la fièvre d’un samedi
L’Italie
Quand tout s’évanouit
L’Italie
Des grands et des petits
L’Italie…
Ce n’est pas loin de la Croatie
De ses plages et de la mer
Ce n’est pas loin de la Croatie
De la joie qui les rends si fiers
L’Italie
C’est un verre de chianti
L’Italie
C’est le soleil à minuit
L’Italie
Où les filles sont si jolies
L’Italie
Quand on y vient de Paris
L’Italie…
Mais le Piémont, et la Sicile
Ce n’est pas le même combat
Mais le Piémont, et la Sicile
Ce n’est pas la même aura…
Paroles :
Daniel Tornare
Ça me parle, ça me parle
Dans les rues, dans les cafés
Et je vous vois vivre et parler
Et je vous dis au revoir pour exister
Ça me parle, ça me parle
C’est bien de pouvoir continuer
Je vous aime, je vous aime
Mais as t’on déjà autant aimer
Je suis si loin d’Ophélie
En plein cœur de Paris
Et j’ai, ma petite sœur
Que ma quête du bonheur
Pour te parler, te parler
Ça me parle, ça me parle
Dans les rues, dans les musées
Et je vous vois boire et dîner
Et je vous dis au revoir sans m’éloigner
Fermez vos portes, lâchez vos chiens
Vous voyez que je ne vole rien
Mais à quel prix cette liberté
C’est vraiment le prix à payer
Et je vous dis au revoir sans penser
Paroles :
Daniel Tornare
Mais où sont mes douleurs
Je les tenais entre mes mains
Et aussi au fond de mon cœur
Sur les rames du dernier train
C’est comme ça et ça va
Si tu veux savoir ma chère
C’est le temps qui s’en va
Pour une toute dernière
Entre les projecteurs de cette rue
Devant un chœur d’inconnus
Entre une ville et quelques princes
Pour une toute dernière en Province
Et pour des gâteries en retour
De toute de façon ce mec
Après tout de jour en jour
Faudra bien faire avec
Et des adieux, des adieux
Mais où sont mes douleurs
Je les tenais entre mes mains
Et aussi au fond de mon cœur
Sur les routes de mon destin
Comment te dire il m’éclate vraiment
Commet te dire ses sentiments
Et puis aussi ça me plait vraiment
Comment te dire ses adieux au printemps
Tout le monde ne t’a pas oublié
Ces quelques jours loin de chez toi
Ce n’était pas finalement une éternité
Mais c’est vrai que c’est triste chez toi
Paroles :
Daniel Tornare
Ce jour là, ces choses là
Boîte aux lettres désespérément vide
Comme d’habitude il s’en va
Au coeur d’un matin livide
Y’a tout, y’a rien de tout de rien
Des choses banales, des choses normales
Comme qui dirait un beau matin
Des choses qui viennent d’une morale
D’un regard un peu lointain
Il m’a aimé, m’a aimé
En homme narcissique
Et je n’ai pu le rencontrer
Malgré mon regard oblique
Comme qui dirait fumer
Sur des mots un peu magiques
Finir tout en beauté
Sur un souffle de musique
Elle était jolie et il est parti
Entre Marseille et Perpignan
Il est revenu un beau lundi
Les bras plein de bons sentiments
Paroles :
Daniel Tornare
Je dédie cette chanson
Au meilleur des chanteurs
Je dédie cette chanson
Au camarade compositeur
Je dédie cette chanson
A une voix toute en or
Je dédie cette chanson
A un orchestre aux doigts d’or
Et qu’est ce que tu dirais,
et qu’est ce que tu ferais,
Je ne sais pas, vivre, je sais pas
C’est tout un jour,
C’est toute une vie
Ce n’est pas de l’amour,
C’est un sursis
Dans la chaleur d’une hacienda
Tu te démènes comme un soldat
D’alcool, de vin et de whisky
C’est ta dernière aujourd’hui
Et les mots ne servent à rien
Tout le monde dit tu à l’un des siens
Et surtout il suffit d’en prendre un
Je dédie cette chanson
Aux lendemains meilleurs
Je dédie cette chanson
Au doute et au bonheur
Je dédie cette chanson
A une voix toute en or
Je dédie cette chanson
A un orchestre aux doigts d’or
Paroles :
Daniel Tornare
Multicolore
Le goût de vivre
Loin de la mort
Reste à me suivre
Bien sûr je vais te dire
Que tout va mal ici
Ce ne serait mentir
Ce n’est pas un répit
Tu me dis que tu as faim
Je n’ai soif de rien
C’est comme un matin
Qui s’enfuirait au loin
Bien sûr je vais partir
C’est vraiment mon désir
Ce ne serait mentir
Ce n’est pas un répit
Du fer dans le cœur
La lance de l’espoir
Au bout du malheur
Sans vraiment te voir
Je m’y rends seul
Pour t’oublier
Je fais le deuil
De ces années
Multicolore
Parce qu’il faut bien vivre
Paroles :
Daniel Tornare
Elle m’a touché en plein cœur
Elle m’a à peine parlé
Et d’un soir au matin
Je l’ai vraiment aimé
Au milieu du train
Elle m’a touché en plein vol
Autrement dit dans un avion
Mais il n’y avait pas maldonne
Je ne connaissais pas son prénom
Ça vous amuse et ça vous parle
Apparemment
Il n’y pas de volcan sous la lave
Des ses sentiments
Et ces choses que l’on se donne
Tu arriveras bien un jour
Il n’y a vraiment pas maldonne
Et ce n’est pas de l’amour
Rentre en ligne de compte
Tous les pas et les humiliations
Ça ne fait pas un monde sans honte
Moi, avec ma rage et mon micro
Je ne connais pas son prénom
Sous le ciel des matins de Rio
Autrement dit dans un avion
Paroles :
Daniel Tornare
Je suis arrivé comme j’ai pu
Dans le coin d’un matin
Je suis arrivé comme prévu
Par la route et le train
Et toute la ville était belle
Dans toute mon âme,
Des étincelles
Te dire que je t’aime
Te dire que ça baigne
L’amour et l’argent
Poisson doré et amant
Je suis arrivé finalement
Je suis arrivé comme j’ai pu
Dans le coin d’un matin
Je suis arrivé comme prévu
Par la route et le train
On s’était dit à bientôt
On s’était dit que c’était beau
Et tout t’arrive aujourd’hui
Il manquait plus que la pluie
Moi j’ai connu quelques femmes
Jusqu’à en perdre mon âme
J’ai bu dans tous les ports
Entre le ciel et la mort
Mais tu vois je suis là
Pour toujours ou quelques jours
Et pourquoi pas
Avec l’argent et l’amour
Tu m’as dis c’est marrant
Tu es arrivé finalement
Dans le coin d’un matin
Par la route et le train
Paroles :
Daniel Tornare
On croit venir à l’heure
Et tout finit dans un sanglot
C’est comme le bonheur
Le sens de tous les mots
Les gens, les gens
Ça je n’y serai pas arrivé
C’est troublant
Tous ces signes envolés
Tu m’as rien dit ce soir
Peut être avais tu peur
Je te dis au revoir
On croit venir à l’heure
Et tout finit dans un sanglot
C’est comme le bonheur
Le sens de tous les mots
Les gens, les gens
Ça je n’y aurait pas pensé
C’est terrifiant
Ce qui peut me faire jouer
C’est bien plus que ça
C’est pour l’éternité
La question n’est pas là
Ce qui peut me faire vibrer
Les gens, les gens
Des doutes et des pleurs
C’est désolant
Cette violente douleur
C’est bien plus que ça
C’est pour l’éternité
La question n’est pas là
Reste les parfums du quartier
Au sens de tous les mots
On croit venir à l’heure
Et tout finit dans un sanglot
C’est comme le bonheur
Le sens de tous les mots
Paroles :
Daniel Tornare
Qu’est ce que tu peux faire
C’est l’hiver, c’est l’hiver
Et je rentre au tabac de l’Arrivée
Où je n’ai que le respect
Je suis toujours un peu paumé
Quand je viens de rentrer
Tout le monde est là
Personne ne m’a oublié
C’est aussi bête que ça
Et l’on s’en va, l’on s’en va
Qu’est ce que tu peux faire
C’est l’hiver, c’est l’hiver
Et je viens vous raconter
Tout ce que j’ai vu là-bas
Les femmes et les hommes
Les routes et les rivières
Les bouts de pommes
Les villes de poussière
Toutes les vitrines en somme
Les immeubles en fer
C’est incroyable
Ce qui se passe
C’est abominable
Lorsque tout s’efface
C’est comme tout perdre
A hauteur pour soi-même
Car reprendre c’est voler
Paroles :
Daniel Tornare
Pas de nouvelles, bonnes nouvelles
Je me dis que le diable est en moi
Mais mon dieu que tu es belle
A tout hasard je passais par là
Ce n’est pas te mentir
Que de te dire
Que continuer
Me permet de t’aimer
Alors voilà
Merci d’y penser
Merci d’être là
Juste une pensée
Passer par là
Passer par là
Toutes les esquisses
N’y peuvent rien
C’est un Matisse
C’est un matin
Je ne sais pas
Prends la vie comme elle vient
Je ne vois pas
C’est un Matisse, c’est un matin
T’as quelques sous en poche
Alors c’est bien
Pas le moindre reproche
C’est que ça va bien
Ce que je dis pour toi
Je le dis en fait pour moi
Tu devrais, tu sais, tu devrais
Faire de grandes et belles choses
Faut que je te dise tu sais
De belles et grandes choses
Sur la vie, l’amour et la mort
Faut que je te dise tu sais
Pour la vie, à la mort
Faut que je te dise tu sais
Loin de tous les remords
Mais mon dieu que tu es belle
A tout hasard je passais par là
Paroles :
Daniel Tornare
Ta fille a sa revanche
Les yeux pleins de paillettes
Ce n’est pas encore dimanche
Ce n’est pas encore sa fête
Parce que tu le veux bien
Parce qu’elle le vaut bien
C’est parfaitement bien
Et c’est pour son bien.
Elle peut en faire encore beaucoup
Elle peut encore tenir le coup
Entre ma ville et sa sirène
Car tu sais qu’elle t’aime
Et c’est vraiment une façon d’écrire
Ce n’est vraiment pas se mentir
Elle dit des secrets à l’oreille
De sa meilleure amie
C’est quand même pas pareil
De changer de vie
Ta fille vient me voir dimanche
Et c’est le jour de sa fête
C’est ma plus belle revanche
Ses yeux pleins de paillettes
En père tranquille, en père facile
J’espère la voir plus souvent
Entre l’histoire, la nostalgie d’une île
Et l’amour de tes amants
Paroles :
Daniel Tornare
Entre deux gares
Entre deux départs
Toujours
C’est vraiment bizarre
Avec un retard
D’amour
J’avance sur ce quai
C’est ce qui me plait
En retour
On ne sait jamais
Je me dis qui sait
Un jour
C’est un train qui s’en va
Comme tout s’en va
Et c’est pour tes hanches
Toujours
Pour une nuit blanche
D’amour
D’aucune revanche
En retour
Comme face à la Manche
Un jour
C’est un train qui s’en va
Comme tout s’en va
Mais tout me revient sur ce quai
Tout me revient à l’arrivée
Dans mon cœur, dans mon âme
Mon bonheur et mes drames
Et surtout, ma fleur, ma femme
Comme un acteur avec sa flamme
C’est un train qui passe et qui se perd
Des voyages au goût infiniment amer
Et des soirs de feu, des matins de cendres
Comme passer aux aveux un jour de septembre
C’est un train qui s’en va
Comme tout s’en va
Paroles :
Daniel Tornare
Sa main sur ma blessure
Je m’offre une escale
Je retire mon armure
En m’éloignant du mal
Je ne veux pas mourir
En tenue de soirée
Je ne veux pas mourir
Son souffle à mes côtés
Et je suis seul en vivant ma vie
Je suis seul et j’en souris
Si j’ai traversé les plus grands des déserts
Si j’ai vu les plus beaux reflets de lune
C’est que je pensais encore lui plaire
Sur mes radeaux de fortune
Et sur les routes de la vie
Je ne veux pas encore mourir
Elle n’a pas voulu m’oublier
Je vais sans doute encore souffrir
Et je suis seul en vivant ma vie
Je suis seul et j’en souris
Sa main sur ma blessure
Derrière le rideau final
Je retire mon armure
En m’éloignant du mal
Et je suis seul en vivant ma vie
Je suis seul et j’en souris
Paroles :
Daniel Tornare
Comme sur le fil du rasoir
Bout de chou et prises de bec
Comme sur le quai d’une gare
D’accord mais faut faire avec
C’est un voyage d’amour
L’avion part de Roissy
C’est la chanson d’Aznavour
De passion, non, et d’oubli
Tu m’étonnes, c’est fou comme tu m’étonnes
On y va, on résiste, on part à l’aventure
Le ciel et la mer se marient avec l’automne
S’en dire pourtant qu’il faut que ça dure
Ce sont des mots, rien que des mots, tu sais
Comme sur le fil du rasoir
Bout de chou et prises de bec
Comme sur le quai d’une gare
D’accord mais faut faire avec
Vivre, vivre
Parce que la vie est là
Vivre libre
Parce que le temps s’en va
Tu m’étonnes, c’est fou comme tu m’étonnes
C’est une nuit de Paris à Marseille en voiture
Les nuages et la terre vibrent avec l’automne
S’en dire pourtant qu’il faut que ça dure
Ce sont des mots, rien que des mots, tu vois
Vivre, vivre
Parce que la vie est là
Vivre libre
Quand même
Parce que le temps s’en va
Paroles :
Daniel Tornare
Les yeux fermés
Qui sonne le glas des Espérances
Les portes bouclées
Qui sonne la fin d’une romance oh
J’ai marché dans la rue
Je suis descendu
Je me suis assis sur une chaise
Je ne me sentais pas à l’aise
J’ai allumé une cigarette
J’ai un peu perdu la tête
C’est fou comme c’était long
Ce matin et ses violons
Et elle était parfumée
Au coin de cette rue
Pour une illusion d’éternité
Avec tous ces inconnus
Les yeux au cœur de cet instant
Entre une larme et un sourire
Comme une étoile au firmament
Entre une larme et un martyr
Le cœur a ses raisons
Le glas des espérances
A chacun ses raisons
La fin d’une romance
A chacun ses passions
Le ciel de la souffrance
Je ne savais pas que c’était toi
Non, je ne le savais vraiment pas
Et tout se meurt avec l’océan
Tes yeux au cœur de cet instant
Paroles :
Daniel Tornare
à Lucie
Au bout, il y a la mort
Les bougies, les draps blancs
Au bout, il y a un port
Les adieux, les tourments.
Tout est dans le regard
Tout est dans le cœur
Comme des choses à voir
Des bonheurs, des douleurs.
Au bout il y a une tristesse
Des yeux et des reins
Il y a le couteau qui blesse
Sur le même chemin.
Tout est dans le regard
Tout est dans le cœur
Comme l’encre sur le buvard
Des sons et des couleurs
Au bout, il y a la mort
Les bougies, les draps blancs
Au bout, il y a un port
Les adieux mais pas de serments.
Paroles :
Daniel Tornare / Musique : Olivier Raymond
Sur ma route
J’en ai fait des rêves
Malgré des doutes
Et ce livre qui s’achève
Un jour, un homme, un testament
Des années passées ensemble
Et ce qui est venu à temps
Sur cette terre qui nous rassemble
Lettre à des amis perdus
Ecrites au fond de la mer
Ce qui ne sont pas revenus
Sont partis leur cœur en hiver
Et ce que j’ai pu penser
Moi qui les ai très bien connu
Ce que j’ai su oublié
Le soir où on ne s’aimait plus
Encore, jamais, toujours
Je ne sais pas, ne sais plus
Je le saurais peut-être un jour
Quand se dévoileront mes ailes nues
Lettre à des amis perdus
Ecrites au fond de la mer
Ce qui ne sont pas revenus
Sont partis leur cœur en hiver
Sur ma route
J’en ai fait des rêves
Malgré des doutes
Et ce livre qui s’achève
Exemple de chanson destinée à Sardou
Paroles : Daniel Tornare / Musique : Colin Gillet
Amant d’une version italienne
Des vrais et des faux sentiments
De la femme que j’aime
Je cherche avec ma vie
Dans cette rue où je me promène
Les élans de vos âmes
Vos mélodies souterraines
C’est du velours que je caresse
Tant de choses encore m’étonnent
C’est une chanson où je m’adresse
Aux cœurs purs de quelques hommes
Une chanson, une adresse
Amant d’une version italienne
Des vrais et des faux sentiments
De la femme que j’aime
Je cherche avec ma vie
Dans cette rue où je me promène
Les élans de vos âmes
Vos mélodies souterraines
Et je n’ai fait que chanter
Et mon orgueil s’en est allé
Dans un flot de tourments étoilés
Vos jours de gloire sont arrivés
Une chanson, une adresse
Amant d’une version américaine
Des vrais et des faux sentiments
De la femme que j’aime
Je cherche avec ma vie
Dans cette rue où je me promène
Les élans de vos âmes
Vos mélodies souterraines
Daniel
Tornare
Vous pouvez joindre Olivier Raymond Carali (raymond.ol@wanadoo.fr) qui se fera un plaisir de mettre en musique les « textes » de Daniel Tornare (voir ci attachés) que vous aurez choisis (« gratuitement ») ou même les « vôtres » (ex : 100 € la chanson – Piano et Chant mais sans « arrangements »). Vous pouvez aussi vous-même les interpréter une fois la musique écrite. Ces 100 € (mais le tarif reste à fixer) comprennent la musique, le piano et le chant, pour un titre et pour une maquette sous forme de disque (cd), ainsi que la déclaration à la SACEM (qui vaut pour « contrat »). Réalité du monde de la musique oblige, nous ne nous portons pas garants d’un éventuel refus de la maison de disques (ex : EMI...). Vous pouvez toutefois contacter cette maison de disques là par internet en joignant la partie musicale et chanson.
Parcours lié à l’écriture (celui de Daniel Tornare) :
Ateliers d’écriture à Cachan (Val de Marne)
Rédacteur : « l’éveil hebdo » (confidentiel)
Rédacteur pigiste : « L’éveil » (NANTERRE - Hauts de Seine)
Stage d’initiation au métier de secrétaire de rédaction et « Ecrire pour être lu » à l’EMI-CFD (Ecole des Métiers de l’Information – PARIS)
Les « articles » en question sont disponibles dans les archives de ces mêmes journaux.
Avec le soutien en tant que « parolier » de Yves Bécourt (compositeur), Colin Gillet (pianiste et compositeur), Jean-Pierre Janiaud (ingé-son), Vanina Michel, d’Alain Ortega (voir photo).
A mes débuts, Manuel Fillat (musicien) m’a brièvement soutenu avec le groupe Nameless dans la région de Bourg-en-Bresse mais aussi le groupe de Rock Albert Muda sur Paris.
Seule la photo d’Alain Ortega est visualisable sur ce site…
Auteurs préférés : Leprest et Roda-Gil.
Chanteurs préférés : Alain Ortega et Hervé Vilard.
Ce site est dédié à la mémoire de Etienne Roda-Gil.